Ma Zahra,
O instants sublimes offerts pour célébrer ton nouveau printemps !
Je n'ai pas de mots assez forts, ta grâce me laisse sans voix, et cette prestance, mon Dieu quelle prestance ! Comment fais-tu ?
Ton attitude à mon égard, ta gentillesse, ta bienveillance, les gestes accompagnant ton regard brûlant d'envie, mais aussi doux qu' un mouchoir de soie, ce que nous avons réalisé ensemble, sont marqués en moi à jamais.
Enfin, submergé par une vague d'émotion, j'ai senti ma gorge se nouer, refoulant une à une de mes yeux deux petites larmes , témoins de mon bonheur, que par pudeur j'ai préféré te cacher.
Las, las, ta compagnie tellement jouissive passe à la vitesse de l'éclair. et les pétales de rose tombent les uns après les autres sur le sol, comme pour nous rappeler l'éphémérité des plaisirs
Je suis heureux de te savoir heureuse
Je suis triste de te savoir triste
Marchons main dans la main

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