J’avais déjà rencontré Feier (appréciation du 9 janvier), et je n’avais pas su me rassasier d’elle avec toute la ferveur méritée. Voilà l’affront lavé, à présent.
Si je me souvenais de ses hanches, bien marquées pour une femme asiatiques (miam !), ainsi que de ses fesses sublimes à caresser, son petit être irradiait aujourd’hui d’une flamme enjouée qui m’avait échappé. Feier semblait épanouie et sereine, comme accomplie. C’était très plaisant, et cela forgea de suite une atmosphère complice et tendre.
Ambiance sensuelle, aussi ! Son petit haut remontait aisément le long de la courbure de ses seins, tandis que mes mains venaient épouser leur galbe. Par ailleurs, de longs et profonds baisers nous accompagnèrent tout du long.
Cette proximité charnelle appela d’autres jeux de bouche, bien plus polissons, ceux-là. Ses doigts légers comme une plume me caressaient tout l’entrejambe, tandis que sa bouche suçait, aspirait, pompait, parfois remplacée par quelques doigts dansant sur mon extrémité. A ce moment-là, de délicieux spasmes me parcouraient, partant du scrotum. Fantastique ! Tout n’était plus que pur plaisir érotique, l’orgasme tenu à distance pour profiter, profiter encore.
Débordant de reconnaissance, je plongeai ensuite ma langue entre ses cuisses, jusqu’à ce qu’elle s’abandonnât. J’ai adoré qu’elle m’en remerciât à plusieurs reprises.

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