PARTIE 1. Un check-up s’imposait. J’eus l’idée de faire appel à Mlle Lulu (je vous jure l’avoir contactée uniquement pour ses compétences en matière de soins et de service à la personne). « J’ai besoin d’une consultation et d’un examen approfondi », déclarai-je (entre nous, je n’avais pas de fièvre, mais nul doute qu’en pénétrant dans son cabinet d’infirmière libérale (et libérée…), une fièvre particulièrement intense allait s’emparer de moi). « Avez-vous une tenue d’infirmière ? ». Elle acquiesça.
Une fois n’est pas coutume, j’arrivai en retard. « Pas de piqûre dans les fesses en guise de représailles s’il vous plaît ! Un doigt si vous le souhaitez, mais pas de piqûre ! ».
Sur place, je faillis tourner de l’œil : une infirmière sexy à gros seins ! Devant mon état fébrile, elle m’imposa immédiatement un bouche à bouche (je n’en demandais pas tant, je ne dis rien, pensant que ce devait être la procédure en cas d’urgence), tout en empoignant mon entrejambe (la suite réglementaire de la procédure ? J’en doute, mais encore une fois je restai passif, au risque d’une forte accélération de mon rythme cardiaque).
Un instant plus tard, je me retrouvai nu, alité, en train d’être ausculté. Pour prendre ma tension (annonça-t-elle), l’infirmière se permit de saisir mon attribut viril. En grande professionnelle, elle déposa une noix de lubrifiant

|
