Vivien,
C'est un honneur pour moi, d'être ce poème qui vous prend comme lecteur. Il n'est jamais vide.. il roule en roue libre... dérange les idées et ne s’arrêtera sur aucune rime.
Il se veut d'être inspiré avec du souffle... des lignes prévisibles allant d’un point à un autre... vous fait vaciller avec mes métaphores passagers.
Il se prend pour une fleur... une fleur qui se réveille.
En poétesse orfèvre, je viens vous tailler des mots, comme on taille les PIERRES dans la MATIÈRE.
On dit que le beau appelle la LUMIÈRE pour l'esprit qui s'ÉCLAIRE. Alors, je vous fais offrande des morceaux de mes luisants vers qui se drainent vers toi en RIVIÈRES pourpres, avec des flots, des clapotis de VERRES, comme des PRIÈRES, et venir s'échouer au bord de votre Ô afin que vous puisez mes PIERRES, moi votre poétesse hors PAIR...
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