Cela faisait longtemps que je ne les avais pas revus… Et pourtant, leur souvenir n’avait jamais quitté mes nuits. Des seins faits pour la main, pour la bouche. Fermes, légers, presque insolents.Je les ai retrouvés comme on retrouve un interdit longtemps fantasmé. Mes doigts les ont effleurés, mes lèvres les ont goûtés… Aussitôt, ils ont encore réagi : ils se sont tendus, dressés, frémissants de désir. Cette peau douce, chaude, satinée, je l’ai sucée avec lenteur, gourmandise, comme pour rattraper le temps. J’ai mordillé, léché, joué… Ils tenaient dans ma paume, mais explosaient dans ma bouche. Je n’avais rien oublié…
Angelina, merci de nouveau pour vos plaisirs…
C’est allongé sur un de ces lits, baignant dans cette lueur rose et tamisée, qu’Angelina s’approche de moi. Son regard souverain et bienveillant m’inspire confiance. Le bandeau qu’elle pose sur mes yeux me plonge dans l’obscurité, me faisant perdre la notion de temps et d’espace, me laissant à l’écoute de sa voix douce et ferme. Mes poignets, liés par de fines lanières de cuir souple, m’offrent les premières vibrations… Puis, il y a cette petite roulette de Wartenberg qui glisse sur ma peau, chaque frôlement éveillant de nouvelles sensations. Maîtresse Angelina mène et contrôle la danse pas à pas, pour mieux me faire chavirer et me reprendre. À chaque faux pas, elle me guide tendrement ; une tape bien placée me rappelle à l’ordre. Elle dirige la danse avec soin, entre plaisir et douceur. Sous sa main experte, je me perds et m’ouvre, découvrant un plaisir inconnu. Angelina est la maîtresse, douce et rassurante, souveraine de mes émois. Pour la première fois, je suis un dévoué.
Cela faisait longtemps que je ne les avais pas revus… Et pourtant, leur souvenir n’avait jamais quitté mes nuits. Des seins faits pour la main, pour la bouche. Fermes, légers, presque insolents.Je les ai retrouvés comme on retrouve un interdit longtemps fantasmé. Mes doigts les ont effleurés, mes lèvres les ont goûtés… Aussitôt, ils ont encore réagi : ils se sont tendus, dressés, frémissants de désir. Cette peau douce, chaude, satinée, je l’ai sucée avec lenteur, gourmandise, comme pour rattraper le temps. J’ai mordillé, léché, joué… Ils tenaient dans ma paume, mais explosaient dans ma bouche. Je n’avais rien oublié…
Angelina, merci de nouveau pour vos plaisirs…
C’est allongé sur un de ces lits, baignant dans cette lueur rose et tamisée, qu’Angelina s’approche de moi. Son regard souverain et bienveillant m’inspire confiance. Le bandeau qu’elle pose sur mes yeux me plonge dans l’obscurité, me faisant perdre la notion de temps et d’espace, me laissant à l’écoute de sa voix douce et ferme. Mes poignets, liés par de fines lanières de cuir souple, m’offrent les premières vibrations… Puis, il y a cette petite roulette de Wartenberg qui glisse sur ma peau, chaque frôlement éveillant de nouvelles sensations. Maîtresse Angelina mène et contrôle la danse pas à pas, pour mieux me faire chavirer et me reprendre. À chaque faux pas, elle me guide tendrement ; une tape bien placée me rappelle à l’ordre. Elle dirige la danse avec soin, entre plaisir et douceur. Sous sa main experte, je me perds et m’ouvre, découvrant un plaisir inconnu. Angelina est la maîtresse, douce et rassurante, souveraine de mes émois. Pour la première fois, je suis un dévoué.