Tu m’as fait asseoir, sans rien dire. Tu as pris le contrôle dès le début. “Ne bouge pas, laisse-moi faire”, tu as soufflé à mon oreille. J’étais tendu, excité, un peu nerveux… mais tu as vite effacé tout ça. Tu m’as déshabillé du regard, puis avec les mains. Et ta bouche… cette façon de me sucer comme si j’étais ta proie… lente, profonde, maîtrisée. Tu ne me laissais aucune chance de résister. Tu me regardais droit dans les yeux en prenant tout, jusqu’à me faire supplier. Et le pire ? Tu souriais. Comme si tu savais exactement ce que tu me faisais. J’ai adoré être à ta merci.